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Par PAFSEKLATE le 7 Avril 2013 à 09:30
YA L'PAPY QUI M'A DIT...
Ya l'papy qui ma dit
qu'il vous aimait encore.
Ya l'papy qui m'a dit
qu'il se sentait plus fort.
Et il avance à pas de loup,
la tête haute et pure
pour venir vers nous
dans un proche futur...
Ya l'papy qui m'a dit
qu'il faisait d'la place
dans sa vie
pour être plus efficace.
Et si par mégardes des ondes maléfiques
venaient perturber le magnifique,
il gèrerait lui-même
et sans peine, le moindre blëme.
Ya l'papy qui me dit que tout va bien
restez sereins.
Je suis son messager
pour vous rassurer.
Y a l'papy qui m'a dit,
de n'pas me biler.
Ya l' papy qui m'a dit
Que vous lui manquiez...
Paf.
Texte-Messager in the bottle
dédié en particulier
au groupe des pôm-pôtes
qui suivent
les délires de PAPY MOUZEOT
SUR LA TOILE....
IL VA BIEN.
TOUT VA BIEN.
Merci.
Paf
16 commentaires -
Par PAFSEKLATE le 5 Avril 2013 à 15:30
http://annuairepourlesnuls.fr/
Après avoir consulter toute la nuit mon DICO,
j'ai compris que les nuls avaient la LETTRE F comme contrainte cette semaine.
Donc voici ma participation au défi du jeudi 04 avril :
F. COMME FANGIO.
J'suis complêtement fangio.
J'monte dans les tours bien haut.
J'tef ile souvent un direct du droit.
Une année d'fac, ça doit v'nir de là...
Fangio comme la neige en Avril,
et la fournaise en Janvier dans les villes.
Fangio à s'marrer pour un rien,
à chialer aussi, dès l'matin.
Fangio comme l'incertitude
d'mon destin, d'mes habitudes.
Fangio comme une désespérée.
Comme une étoile consummée.
Fangio... J'suis pas faite pour ce monde là.
j'vais trop vite et j'm'assure pas.
J'suis fangio d'puis longtemps déjà...
Et cette peau là , ça m'va.
C'est plutôt toi qu'ça désespère
de sentir la force d'mon caractère.
D'pas piger l'gris d'mes ch'veux.
Fangio comme une automate.
Articulée et qui S'EKLATE.
Fangio comme un oiseau
qui s'électrise sur un fil, pour voler bien plus haut.
j'suis droite mais j'zigzague
si tu me fais des vagues..
Fangio comme une enfant
qui refuse l'injustice des grands.
Et puis si tu me cherches, par un curieux hasard...
Tu m'trouveras là où tu m'attendais pas...
J'suis fangio car j'ai deux vies
que personne ne m'envie.
Paf.
16 commentaires -
Par PAFSEKLATE le 3 Avril 2013 à 01:15
DANS L'REGARD DES MÔMES.
Dans l'regard des mômes
tu verras c'que l'humanité
a déposé en raz-d'marée
sur cette foutue terre sans arôme.
Tu verras sans doute, un peu d'gaïté
dans les pupilles des plus aimés.
Mais tu verras la mort et ses reflets
dans ceux des plus désespèrés.
tu sais là où le soleil disparaît.
Tu verras d'la tendresse
qui brillera de milles feux.
Tu verras la detresse
qui bouffera leurs yeux.
Dans l'regard des mômes
tu verras c'que l'humanité
a déposé en raz-d'marée
sur cette foutue terre sans arôme.
Tu verras contre ton gré
un gavroche roulé
dans tes rues aseptisées.
Tu verras sur tes écrans H.D
Les enfants tenaillés
par la faim, désséchés
et les lêvres brulées
par un soleil plombé.
Mais, tu verras aussi
des enfants si démunis
que le soir dans ton lit
ton sommeil sera maudit.
Dans le regards des mômes
tu verras c'que l'humanité
a déposé en raz-d'marée
sur cette foutue terre sans arôme.
Tu verras chez ces gosses
des trous et puis des bosses.
Des avenirs souillés
par des mains armées.
Mais tu verras aussi
l'amour qui grandit
la fleur qui s'épanouit.
tu sauras que ce monde respire la vie
et chante dans les rires des petits.
paf.
Photographies sur le site de DEVIANTART.
Paf-Youtube-vidéo
" GIVE PEACE A CHANCE... "
JOHN LENNON.
16 commentaires -
Par PAFSEKLATE le 30 Mars 2013 à 16:41
COEURS DE MARBRES.
Ils ont le coeur dilaté, obscur et froid.
Ils se tiennent là, comme les seigneurs féodaux, d'autrefois,
et ouvrent nos angoisses sur l'horizon de la misère.
Ils sont sournois et ont un coeur de pierre.
Ils ont les mains pleines de sang,
qu'ils cachent avec de sombres gants.
Des gants tout en acier
qui se ferment sur nos destinées.
Ils ont tous les pouvoirs et l'argent.
Leur unique langage épuise nos libertés.
Leur unique message fait de nous des morts-vivants.
Démagogues, ils chimèrent sur des états prospères,
en de furieuses guerres dans l'ombre et la lumière.
ils affranchissent les richesses cachées
et domptent avec ardeur
nos battements de coeurs.
Puis vendent nos âmes au diable capitalisé.
Alors quand tu contemples un coin de ton ciel encore bleu
pense que demain tu devras mettre le feu...
Car l'odeur du présent, et l'image du futur
frappent comme des ouragans notre pauvre nature
que des spectres violents défigurent.
Ils ont toutes les cartes, qu'ils distribuent dans leurs sociètés
de nantis pervers, redoutables élus à la majorité.
Tandis que tremble une mère fatiguée par la vie,
tandis qu'un tendre père cherche à nourrir son nid.
Il faut être indomptés et farouches
pour ne pas rester sur la touche.
Et Marianne est bafouée.
Et l'illusion du bonheur disparaît.
Ils ont un coeur de marbre étatique et cynique.
Mais la foule se taît et freine ses envies.
Alors le clair de lune change l'heure et la nuit.
Et les drames grandissent,
les volontés faiblissent.
Alors ils nous promettent des années frileuses,
des matinées fièvreuses,
et puis des hivers gris.
Ils auront le soleil, et nous aurons la pluie.
Paf.
Illustrations sur DEVIANTART.
Paf-Youtube-vidéo.
14 commentaires -
Par PAFSEKLATE le 28 Mars 2013 à 09:45
http://annuairepourlesnuls.fr/
JEUDI 28 MARS
SI JE SUIS PAS à L'OUEST
LES NULS EN SONT à LA LETTRE "E"
Et comme je suis Nulle, voici ma participation:
E COMME EGO...
Tu as l'égo d'un aigle
et l'QI d'une buse.
tu m'tombes dessus avec tes régles
alors que dans ta vie t'es dans l'abuse.
tu éclates en cyclotimie
comme un loup sur une proie endormie
t'es aussi fiable qu'la météo
et j'voudrais pas t'avoir dans l'dos.
SI on flattes pas ton super égo
tu m'glaces le miroir
pour que j'reste dans le noir
et tu m'maquilles mes maux.
T'es un père fouettard et un père endormi
C'est seulement au gré du vent que tu agis
Et tu mens et travestis
J'aime pas quand tu ressurgis dans ma vie.
Ton égo sur passé
fait de toi à mes yeux un raté.
une erreur de chemin
un hasardeux destin.
Et tu mets mes espoirs en echecs,
tu essaies de m'mâter.
mais les mots qui sortent de ton bec,
sont juste pas assez !
Egoïste égocentré,
j'veux plus t'regarder.
t'es rien pour moi juste un affabulateur
un pseudo père turbateur
un égo sans vergogne
qui parle pas qui cogne.
Tu viens encore de m'le prouver
en éclatant comme un boulet.
Mais j'ai pas peur de toi,
t'es juste celui qui doit rester là
pour mon étoile à moi,
mon diamant éternel
mon fils, ma citadelle.
Alors s'il te plait
reste en retrait.
Sert pas d'intermédiaire
entre Lenny et ma sphère.
Reste planté comme un con sur ton égo
Et disparait quand il le faut.
Paf.
Illustrations DEVIANTART
Paf-Youtube-vidéo
21 commentaires -
Par PAFSEKLATE le 26 Mars 2013 à 08:00
Lettre ouverte à un Ami.
Quand j'vais pas bien,
ce n'est pas grave, je gère le grain.
J'disparais dans les alentours
ou bien je monte dans les tours.
J'pleure beaucoup sur mon sort,
puis je retrouve les ressors.
Mais quand ça touche un Ami,
j'ai l'coeur qui vrille, trop meurtri.
J'voudrais avoir toute lales puissances pour l'aider.
Freiner les catastrophes sur sa route parsemée.
Et l'faire s'éclater en f'sant le clown du dimanche,
en sortant un lapin, un mouton de ma manche.
Un Ami, c'est un cadeau, un diamant
qui devrait rester éternel.
Un Ami, c'est quand tu t'marres avec lui nimporte quand,
en déjouant et défiant les rigides sentinelles.
Et puis un Ami tu l'écoutes
pour comprendre ses déroutes.
Un ami tu ne l'enfonces pas,
tu restes juste là.
Alors quand je sais sa souffrance et sa désespèrance,
je cherche toutes les alternances.
Et je lui tends la main
dans le tourbillon inhumain
qui fait qu'aujourd'hui, les puissants, les nantis
nous laminent et nous tuent lentement comme de vulnérables fourmis.
Alors j'enrage et je m'emporte
en claquant brutalement les portes
des raisons du plus fort
qui font que quoique tu fasses tu as tort.
Voilà que je suis contente que tu te reposes
loin d'tes tracas d'une vie trop morose.
J'attends simplement avec patience,
nos fous rires dissonants
nos coup d'gueules fracassants.
et puis tes parodies
acerbes et pourtant tendres pour les maudits.
Je sais qu'on est un joli groupe ici
à t'espèrer bien rétabli.
je voulais juste dire
Que tout se pass'ra bien
qu'l'été sonnera le glas
des récurrents embarras.
Un rayon de soleil
dans le sombre du ciel.
à PAPY...
paf@
Images de DEVIANTART.
Paf-youtube-vidéo.
18 commentaires -
Par PAFSEKLATE le 21 Mars 2013 à 14:45
LE PRINTEMPS.
Le printemps, ça fait briller les coeurs
ça disperse une douce lumière
pour faire fuir l'hiver
et toutes ses rancoeurs.
Le printemps, ça t'redonne l'énergie
d'regarder dehors les arbres qui s'étoffent
d'faire le fanfaron ou bien le philosophe
ça t'protège de l'ennui.
Le printemps danse dans les yeux des filles
et leur donne le LA des musiques à venir,
des fleurs et puis des oiseaux-lyres.
Tu verras, leurs lêvres auront le goût de la myrtille.
Le printemps a tout son temps.
il mûrit autour de toi
tout ce que tu ne vois pas.
Tu dois juste lever la tête très haut, dans l'firmament.
Le printemps t'offrira des diamants d'étincelles.
Et tu renaîtras dans un monde magique
où tout est magnifique.
Alors tu sauras qu'il sera l'heure d'ouvrir tes ailes.
Le printemps, c'est frais comme le sourire d'un enfant.
C'est somptueux de couleurs, de parfums enivrants.
C'est l'amour qui s'annonce dans des nuages blancs.
C'est mon coeur qui dit oui sans être impertinent.
Paf.
Illustrations de DEVIANTART.
Paf-youtube-vidéo
24 commentaires -
Par PAFSEKLATE le 20 Mars 2013 à 09:45
OYé !!!
ce texte qui tombe à pic
fera partie de ma participation avec les nuls
Télécharger « http://annuairepourlesnuls.fr/ »
au jeu de :
L'ALPHABET
{ TOUS LES JEUDIS.}
Aujourd'hui , Jeudi 21 mars : lettre D
comme...
DEROUTE.
La déroute
La déroute, elle t'arrache à ta route
comme un aigle qui te serre.
Elle te laisse sur l'carreau ordinaire
et s'nourrit d'tes larmes qui gouttent.
La déroute te fâche avec le monde,
avec la vie.
Et tu cherches désespèrement tes appuis.
Mais quand tu r'gardes le ciel, ya rien qui tombe...
La déroute, elle t'aspire et tu doutes.
Tu cherches pourquoi t'es resté là
à attendre le parfum d'un amour qui vient pas.
à garder le cap d'la raison, coûte que coûte.
La déroute, tu la prends dans la gueule
de plein fouet sans rien d'mander.
Et tu t'fabriques le linceul
coco-coton trop dénudé,
quotidien basique instinct de survie.
Les autres te matent sans envie.
la déroute dynamite ta soute
alors ton bateau prends la mer gouttes à gouttes.
Et tu maudis les puissants qui te donnent la banqueroute.
La déroute, c'est quand tu viens me voir
juste pour pour quelques heures,
comme on visite un vieillard
en attendant qu'il meurt.
La déroute c'est le manque de toi
et de tous mes amis
perdus dans les spirales des tracas.
La déroute c'est de ne plus avoir
le sens du chemin qui bousill'ra l'ennui.
C'est s'attacher et tenir droit dans l'noir.
La déroute c'est la grande souffrance
que personne ne mèrite
Qui te fera péter la durite
en public, t'immolant en t'aspergeant d'errances.
Et si par hasard ce texte te déroute,
passe ton chemin, t'as pas pris la bonne route.
à tous ceux qui savent la déroute...
Paf.
36 commentaires -
Par PAFSEKLATE le 18 Mars 2013 à 12:52
Le visage de la mort.
Le visage de la mort
s'traîne avec moi
dans l'même décor.
J'ai pas trop peur, j'suis en émoi.
Ya que quand j'dors
que j'la sens pas.
Et comme à tort
j'dors pas
elle est toujours là, dans l'corridor...
J'la vois qui s'prèlasse comme une diva.
Elle me vide la mèmoire un peu trop fort.
C'est sa figure qui m'translucide comme une geisha.
J'la laisse s'terrer dans son amphore
j'la retiens pas, j'la retiens pas...
j'l'ai d'jà dans l'corps.
Elle est patiente et sans remords.
elle abîme de guerres en guerres, de trèpas en trèpas.
Je connais son visage inéluctable comme un sort.
Et quand je suis morose, je lui donne les clefs de tous mes états.
Et puis quand je vais mieux je la combats à plein efforts.
Elle a tous mes silences, toutes mes parois.
Elle a toutes mes souffrances, mes cris et mes accords.
Elle me connaît si bien qu'elle fredonne avec moi.
Et je n'la retiens pas, et je n'la retiens pas.
J'lui en veux pour le mal qu'elle fait dans ce monde retors.
Mais je la pardonne quand il s'agit de moi.
Elle est une reine aux fleurs sombres, sans trèsor.
Elle est parfois triste d'avoir à prendre ces chemins las.
Elle est parfois violente et injuste quand elle sort.
Et elle ne résoud rien lorsque la vie revient à grand fracas.
Le visage de la mort
ne se farde jamais, il a le teint d'un crépuscule bas.
Il se tient souvent devant mes yeux, comme un mirador.
Il me hante et m'indiffère à la fois.
Il demeure insonore.
Aucun de ses reflets ne touchent mon apparât.
Et puis, quand l'aube m'a trahie encore et encore
je le sens pres de moi, indolore renègat.
Et sa figure blême part un peu dehors.
il jaillit dans la lumière de vos jours maudits, vous fait sa guèrilla.
Et je n'le retiens pas, et je ne l'retiens pas.
Son image reviendra comme un conquistador
reprendre place juste là.
Mon énergie choisira seule son essor.
Elle le retiendra, elle le retiendra...Ou pas...paf.
Images de DEVIANTART.
PAF-YOUTUBE-VIDEO
16 commentaires -
Par PAFSEKLATE le 25 Février 2013 à 16:15
LA PÂLE HEURE...
La paleur de mon teint
c'est la pâle heure qui s'éteint.
Les nuits sans lendemain
c'est être seule au p'tit matin.
Se lever sans histoire à raconter
c'est comme dormir dans un mausolée.
Le choix d'la solitude est éffronté
salvateur, mais un lourd prix à payer.
Plus j'avance dans cette vie mal agencée
plus j'ai envie de m'arrêter.
Un excès de sensibilités
Un manque à gagner.
Anarchiques mes nuits.
Anachroniques mes jours sans bruit.
Etranges sensations
de ne plus vivre au présent.
Est ce que je n'ai pas su aimer ?
est-ce que je n'ai pas su avancer...
Un courage alèatoire
et l'énergie des brouillards.
Et puis vous qui vivez autour
alors que je me sens sans amour.
Alors que m'arrive-t-il ?
Me suis-je perdue d'éxiles en éxiles ?
Ou bien, tu approches lentement
pour me prendre la main doucement.
M'envoler vers un ailleurs.
Me redonner l'immensité d'un coeur.
La pâleur de mon teint...
C'est parceque je n'attends plus demain.
paf.
Paf-vidéo-youtubée.
illustrations sur deviantart.
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