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Par PAFSEKLATE le 18 Décembre 2013 à 15:16
PAS DE DICO-CITATIONS POUR MOI CETTE SEMAINE.
UN MAIL de ce matin m'a si profondément touchée,
que je dédie ces quelques mots,
retranscrits à chaud,
car je suis bouleversée.
@Paf
POUR JILL ET SA FAMILLE .
http://jill-bill.over-blog.com/
La mort d'un enfant est une aberration.
Un contre sens, une abomination.
Un odieux coup du sort, un bien trop grand malheur.
Une effroyable douleur
qui te jette la pluie en rafales dans le coeur.
impossibles pensées, incroyables pleurs.
Et l'ange s'envole te laissant sa candeur.
Comme une aile de papillon qui frottera ta joue, sa pâleur.
Qui te brûle les yeux où tes rêves se meurent.
Un enfant qui s'en va
C'est le vide qui tue.
Et qui nous laisse là
comme des âmes en peine qu'on ne caresse pas.
Vivre sans son futur
c'est survivre contre nature.
Il n'existe pas de plus grande tragédie
qu'un Ange qui s'enfuit.
Il n'y a pas de mots assez forts
Pour balayer ce vent qui vous tord.
Juste une infinie blessure qui vous perce le corps.
Alors pour conjurer le sort,
imaginer cet ange qui dort
danser avec les fées, agrandir le décor.
Il n'y a pas de plus grand silence.
Il n'y a pas de plus grande absence.
Je vous présente ainsi mes condoléances.
à JILL ET SA FAMILLE.
@Paf
30 commentaires -
Par PAFSEKLATE le 3 Décembre 2013 à 19:33
LE DICO-CITATIONS DES NULS
http://lacommunautedesnuls.apln-blog.fr/2013/12/03/le-dico-citations-sur-lannuaire-pour-les-nuls/
LETTRE A
COMME
L'AVARICE.
La varice est la mère de tous mes maux.
je la sens qui s'éclate dans mes vaisseaux.
Comme une harpie, une sang-sue
elle me dilate et m'exténue.
je la vois qui ondule dans l'eau bouillante
affranchie, épanouie, arrogante.
La varice m'empêche d'avancer
voir même de reculer.
j'envie parfois les vieux pirates de là bas
avec leurs perroquets et leurs jambes de bois !
La varice quand tu l'as , tu donnes rien tu gardes tout.
Harpagon du dimanche, tu comptes tes sous
et tes dessous.
Elle est laide à faire peur.
Tu la caches sous les bas
comme on t'cache la vraie misère, la vraie terreur
à travers les mèdias.
La varice est la mère de tous les maux.
Citation qui se traîne par monts et par vaux
qui te remue la veine
et te laisse sur l'carreau !!
@Paf
48 commentaires -
Par PAFSEKLATE le 3 Décembre 2013 à 08:18
RESTAURER SON SYSTEME.
Restaurer son système aux dates des bonheurs passés
composés d'éclats de rires, de sourires effrontés.
Mettre à jour ses multiples pensées.
Maîtriser les virus, détruire les menaces,
pour alléger son plus tendre espace.
Fermer les fenêtres trop lasses.
Sauvegarder son coeur, sauver son interface.
pour ne plus avoir peur de pleurer dans la masse.
Restaurer son système
pour effacer sa peine.
Codifier, afficher les chemins pour savoir ou aller.
Analyser encore et encore la profondeur des mots balancés.
Choisir un autre moteur pour avancer.
Et puis désarçonner le ch'val de Troie,
qui veut ta peau, qui pousse ta croix.
Détruire les fichiers qui ne sont plus toi.
Restaurer l'historique sans prendre les mauvais cas.
Partager sans défiance.
sauver les apparences.
Restaurer son système
pour que l'on vous retienne.
Communiquer ses mots de passe
pour défier la solitude qui trace
des rides sur ma face.
Tout abandonner, refaire un fond d'écran doré.
Et puis retrouver les vieux dossiers
pour voir ton visage d'enfant-roi adoré.
Denoncer le futur et garder le présent.
Défragmenter sa vie, en faire une citadelle
où les anges s'envolent à tire-d'ailes.
Restaurer son système
Et puis briser ses chaînes.
Paf@
DEVIANTART ILLUSTRATIONS
23 commentaires -
Par PAFSEKLATE le 24 Novembre 2013 à 02:06
Mon dernier abécédaire
http://lacommunautedesnuls.apln-blog.fr/
ccrochée à l'espoir
alançoire éphémére
loîtrée dans les hasards
ilapidant ma vie dans un flot de misères
puisée et sonnée
anée malgrè les douces rosées
igantesque lassitude
antée, sans attitude
mperceptibles chemins de souffrances
eux perdus, dame et reine sans importance
afkaien destin
ongue agonie sans lendemain
orte saison
uit sans chaleur et sans son
paque fenêtre entre-ouverte
erdue, nulle envie de renaître
uiproquo pour mieux disparaître
ien ne m'attire
ans ses sourires
orturée sans bruit
nique pensée qui me détruit
aleureuse âme que plus rien ne retient
agons vides, trains qui déraillent
ylophone aphone, cacophonie qui m'assaille
a plus de temps pour moi sur cette vague
one interdite, je finis en zigzag.
43 commentaires -
Par PAFSEKLATE le 17 Novembre 2013 à 08:50
« La tristesse est un mur élevé entre deux jardins. »
Khalil Gibran
L'ULTIME CAUCHEMAR.
Et mon cauchemar qui sommeillait
vient de se réveiller.
Et mon amour encore très allumé
vient de s'éteindre dans la nausée.
Alors mon coeur tombe en lambeaux
contre les murs de mon cerveau.
Et je saigne à mourir.
Et je pleure à pourrir.
Et j'm'enfonce dans l'silence.
Et je flirte avec les souffrances.
Regarder sans comprendre.
Ecouter sans entendre.
Comment j'vais m'sortir de cette épreuve ?
Comment aimer ma vie sans une peau neuve ?
J'voudrais fermer les yeux sur les dunes.
J'voudrais plus rien dire à la lune.
Il aura fallu le temps pour me tuer...
Et c'est toi qui l'aura envoyée
la flêche empoisonnée.
Tu es la goutte qu'a débordé mon vase.
L'étincelle qui m'a éteint l'emphase.
Le mot de trop qui perce mes tympans.
L'arrogance agressive qui m'colle au firmament.
Ma dernière douleur.
Ma dernière demeure.
LAISSEZ MOI LE SILENCE,
J'VOUS DONNERAI MES NUITS.
COMBLEZ MOI CETTE ABSENCE,
J'VOUS OFFRIRAI MA VIE.
@Paf.
20 commentaires -
Par PAFSEKLATE le 8 Novembre 2013 à 08:15
Z comme
ZONE ROUGE / ADIEU LA PAF...
http://lacommunautedesnuls.apln-blog.fr/2013/11/08/z-comme-zone/
MERCI MA DOUCE HEIDI POUR TES IMAGES SUBLIMES.
@PAF.
30 commentaires -
Par PAFSEKLATE le 30 Octobre 2013 à 02:16
L'abécèdaire des nuls
http://lacommunautedesnuls.apln-blog.fr/
Lettre / Y
Comme :
YAPLUSKA...
!!!
La chanson des enfoirés
Moi, je file un rancard A ceux qui n'ont plus rien
Sans idéologie, discours ou baratin
On vous promettra pas Les toujours du grand soir
Mais juste pour l'hiver A manger et à boire
A tous les recalés de l'âge et du chômage
Les privés du gâteau, les exclus du partage
Si nous pensons à vous, c'est en fait égoïste
Demain, nos noms, peut-être grossiront la liste
Aujourd'hui, on n'a plus le droit Ni d'avoir faim, ni d'avoir
froid Dépassé le chacun pour soi Quand je pense à toi, je
pense à moi Je te promets pas le grand soir Mais juste à
manger et à boire Un peu de pain et de chaleur Dans les
restos, les restos du coeur
Aujourd'hui, on n'a plus le droit Ni d'avoir faim, ni d'avoir
froid Autrefois on gardait toujours une place à table Une
soupe, une chaise, un coin sans l'étable Aujourd'hui nos
paupières et nos portes sont closes Les autres sont
toujours, toujours en overdose J'ai pas mauvaise
conscience Ça m'empêche pas d' dormir Mais pour tout
dire Ça gâche un peu le goût d'mes plaisirs C'est pas
vraiment de ma faute Si y'en a qui ont faim Mais ça le
deviendrait Si on n'y change rien Aujourd'hui, on n'a plus
le droit Ni d'avoir faim, ni d'avoir froid Dépassé le chacun
pour soi Quand je pense à toi, je pense à moi Je te
promets pas le grand soir Mais juste à manger et à boire
Un peu de pain et de chaleur Dans les restos, les restos
du coeur Aujourd'hui, on n'a plus le droit Ni
d'avoirfaim,ni d'avoir froid J'ai pas de solution pour
techanger la vie Mais si je peux t'aider quelques heures,
allons-y Y a bien d'autres misères, trop pour un
inventaire Mais ça se passe ici, ici et aujourd'hui
Aujourd'hui, on n'a plus le droit Ni d'avoir faim, ni d'avoir
froid Dépassé le chacun pour soi Quand je pense à toi, je
pense à moi Je te promets pas le grand soir Mais juste à
manger et à boire Un peu de pain et de chaleur Dans les
restos, les restos du cur Aujourd'hui, on n'a plus le droit
Ni d'avoir faim, ni d'avoir froid...
PAF@
17 commentaires -
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Par PAFSEKLATE le 24 Octobre 2013 à 08:27
L'abécèdaire des nuls :
http://lacommunautedesnuls.apln-blog.fr/
Comme :
Le X-FACTOR.
Tu l'as
OU
tu l'as pas ?
Question existentielle que je me pose
dès le matin, quand j'me dose.
Le X, je l'ai ou pas ?
Je sais que j'ai déjà
le D du système D...
J'ai aussi intégré le P
comme dans Pigeonnée.
et puis mon T comme Trolls
qui m'sert d'antennes contre les branquignoles ...
Mais le X ?
Est-ce-que je l'ai trouvé ?
Il me semble bien que oui...
lisez moi ce vieux texte pafé
il est gavé de X
MAIS SURTOUT
D'EX...
je te dis sans complexe,
tu me joues,
tu me vexes.
n'attends rien
d'mes réflexes,
j's'rais jamais à tes genoux.
T'y pourras jamais rien !
Oui, je te l'dis sans complexe,
tu m'a pourris la vie
le coeur et l'âme presque.
Mais t'as pas réussi.
Et tu demeures un ex..
Tu es toujours le même rat,
tu exultes ton sexe,
comme un vulgaire scèlèrat.
Si j'te place dans le con texte,
tu es juste un mot plat...
Je te le dis sans complexe,
je te le dis sans complexe,
tu restes pour moi une énigme
une rime en " EX"
un patronyme,
un mauvais texte
je te le dis sans complexe,
choisis ta voie
laisse moi le reste,
n'attends plus rien de moi...
Tu m'ex
aspéres !
tu m'ex
actitudes !
tu m'ex
cagasses !
tu m'ex
humes !
tu m'ex
traordinaires !
tu m'ex
hangues !
tu m'ex
istes !
tu m'ex
écutes !
tu m'ex
cellences !
et tu m'ex
agères !
t'en a trop fait !!!!!
Paf@
Pas eu l'énergie d'écrire un nouveau texte.
Je ne suis pas bien du tout en ce moment.
Merci.
17 commentaires -
Par PAFSEKLATE le 20 Octobre 2013 à 09:09
Solidarités
FACE à
L'ABJECTE...
Christiane Syoën a pu dormir au chaud..
La situation de Raymond (90 ans) et Christiane (78 ans) Syoën, sans chauffage à Garat, a ému.
Un artisan a donné de son temps et a remis la chaudière en route.
L’artisan a remis la chaudière en route, le voisin a offert un radiateur.
Christiane Syoën a pu dormir au chaud.
L’artisan a remis la chaudière en route, le voisin a offert un radiateur.
"Elle avait le sourire quand on est repartis." Et pour Simon Magallon, un jeune artisan chauffagiste installé à Ruelle, c’était le plus beau des salaires. Il n’a pas déjeuné, son ouvrier non plus.
Mais hier après-midi, quand ils ont quitté le pavillon de la route de Dirac à «Sainte-Catherine» à Garat, Christiane Syoën, 78ans, avait cessé de grelotter. Dès le matin, au cours de sa première visite, Simon avait identifié la panne, électrique.
Il est venu réparer.
Il n’enverra pas de facture.
Pas même au curateur de Raymond, 90 ans, le mari de Christiane.
Un curateur resté sourd aux appels du couple de personnes âgées, sans chauffage, sans téléphone, sans télé.
Simon a lu Charente Libre hier matin.
L’histoire de Raymond et Christiane Syoën l’a scandalisé.
«Cela m’a vraiment marqué.»
Au point de décider de régler le problème. «J’ai parfois travaillé avec des tutelles. Ils ne sont pas toujours très efficaces.
On ne pouvait pas laisser ces personnes âgées comme ça.»
Simon Magallon ne savait pas encore que la situation était encore plus dramatique qu’il ne l’imaginait...
Que Raymond, mardi soir, avait chuté dans l’escalier qui mène à l’étage en montant se mettre au chaud dans son lit, que son épouse l’avait tant bien que mal aidé, que l’infirmière qui passe tous les matins l’avait trouvé «inconscient, glacé», mercredi matin.
Le Samu a été alerté.
Raymond est aujourd’hui hospitalisé à Girac.
L’histoire de ce couple démuni, face au mur de la curatelle, qui ne s’est pas manifestée, a ému les lecteurs de Charente Libre.
Simon, le jeune chauffagiste, avait les compétences.
Juste pour rendre service À «Sainte-Catherine», Christian Dulphy, célèbre pour ses illuminations de Noël, s’est retrouvé devant le pavillon en même temps que l’artisan, un radiateur électrique sous le bras.
Il voulait le vendre.
Il a choisi de l’offrir...
«Je n’arrive pas à comprendre ça, s’insurge-t-il. On n’est pas des chiens sur terre. Ce sont les personnes âgées qu’il faut aider. C’est une honte! Il faut de la solidarité.»
Cet élan a aussi fait réagir Christophe Peillard, l’électricien de Grassac, qui a promis de venir toutes affaires cessantes ce matin remettre l’installation électrique à l’équerre.
«Et même, si la chaudière n’avait pas été rebranchée, il serait venu dans la foulée», précisait hier l’infirmière qui veille sur le couple.
Christiane attendra au chaud le retour de l’hôpital de son époux.
L’électricien devrait même lui rétablir la télé et le téléphone. Sans eux, elle ne serait pas restée dans l’adversité.
Dès hier matin, Marie-Anne Barrey, famille d’accueil à Fontenille, avait elle aussi réagi. «Je connais cet environnement.
J’accueille une retraitée depuis trois ans. J’ai actuellement deux places libres à la maison.» Elle aussi, juste par solidarité, juste parce qu’elle a été émue par la situation des deux retraités, a proposé d’offrir ses services.
Juste pour rendre service.
RESPECT
Messieurs/Dames !
Je n'ai rien d'autre à ajouter...
ET VOUS ???
Paf.
12 commentaires
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