DE PAS à PAS...

 

Un pas en arrière et deux en avant.

C'est bon, j'suis d'dans...

Mais pour aller de PAS

à PAS ?

 

J'dois faire quoi ?

Bon, ne nous énervons pas...

J'reprends l'raisonnement...

 

Et j'me la r'fais à l'envers,

un pas en avant et deux pas en arrière.

Alors, j'en suis où ? En tout cas j'suis derrière.

 

Bon, on r'commence en plus grandes foulées...

Pas en courant, j'vais m'casser...

Aors doucement,

trois pas en avant,

Et puis j'accélère,

3, pas en arrière..

 

Merde. J'y'arrive pas !

pour aller de PAS

à PAS...

 

C'est p't'être que j'apprend pas bien la l'çon...

en tout cas,

j'avance pas...

Et ça,

c'est con...

 

Hey ? Les gars ?

On fait comment pour aller là-bas ?

De PAS à PAS .

 

ON FAIT RIEN.

ON ATTEND JUSTE LE TRAIN...

 

paf.

QUI S'AMUSE PARCEQU'ELLE DORS TOUJOURS PAS.

ELLE VEUT JUSTE ALLER

DE PAS à PAS...

 

 

 

 

Illustrations : site DEVIANTART.

Où va ma vie ?

 

Où va ma vie ?

Dans un tiroir, dans un placard ?

Sous un pavé, sur un trottoir.

Dans des regards hallucinés et noirs.

Où dans un livre posé au hasard.

peut-être vers une autre histoire...

 

Où va ma vie ?

Quand je sens que j'la perd.

Quand l'ombre rejoint toutes les lumières.

Quand j'ai peur, que je pleure ou que j'erre.

Quand tu m'souris dans un cadre austère.

Quand plus rien ne m'attire et qu'tout est à refaire.

 

Où va ma vie ?

Que j'ai brûlé comme une chandelle,

pour essayer d'avoir des ailes.

Pour toucher l'firmament, les étoiles et le ciel.

Pour gagner tous les paris et faire des étincelles.

Pour essayer de vivre mieux, sans tragédie et sans gamelle.

 

Où va ma vie ?

Lorsque je ne respire plus.

Lorsque je te vois si loin bien au-dessus.

Lorsque je me retire, éreintée et déçue.

Lorsque tu n'dis plus rien et que je suis perdue.

Lorsque je décide qu'en même d'avoir les mains tendues.

Où va ma vie ?

Quand je ne veux plus rien, et qu'je dors sur mon destin.

Quand mon âme s'échappe la nuit pour se faire un festin.

Quand je refuse de prendre le temps de me prendre en mains.

Quand je ne sais plus rien.

   Quand j'rèflechis trop et que j'me cogne sur un vieux refrain.

Où va ma vie ?

Dis moi...

Dans des marécages de solitudes ?

Dans des reflets d'argent de lassitudes ?

Dans quels chemins torturés d'habitudes ?

Dans quels immenses flots d'incertitudes ?

Dans quels cercles trop rudes ?

 

Ma vie s'en va...

Comme toi...

Où elle ira...

Je ne sais pas.

 

Ma dédicace vous paraitra sans doute

bien étrange, singulière..

Mais c'est ainsi.

 

Je dédicace ce texte à

LA MORT.

 

 

Qui,

il y a 5 ans jours pour jours,

m'a prise et rejetée

à nouveau sur la route

et la déroute.

Paf.

 

 

illustrations prises sur le site de Deviantart.

une paf-youtube-vidéo pour la musique.

 

 

 

Au plein coeur de l'orage...

 

Pourquoi j'deviendrais sage,

au plein coeur de l'orage ?

Pour gagner un vrai rivage ?

Et m'échouer d'avantage ?

 

Non. Hors de question, d'continuer les ravages.

J'veux pas m'assagir et dormir sur des plages.

Et attendre que le vent m'emporte en esclavage.

 

Non. Je veux garder ma liberté, ma rage.

Et siffler sous la pluie un sérieux air de partages.

J'veux ruer comme un ch'val en otage.

Et j'veux garder l'soleil face à tous vos ombrages.

 

 

 

J'aime pas c'que vous m'donnez, ce n'sont que des mirages.

Laissez moi rêver encore un peu, que je n'fais pas naufrage.

Gardez moi un coin d'paradis, pour plus tard, là-bas près des sages.

J'veux pas m'en aller sans avoir tourner toutes mes pages.

 

J'veux pas qu'tu crois qu'j'étais pas dans ton sillage.

C'est juste que le ciel qui s'assombrit, c'est ma cage,

ma réalité, mes pensées, mes carnages.

 

Alors, si vient d'un coup le mauvais présage,

j'veux ouvrir toutes mes portes avant le grand carnage.

Avant de basculer sur d'autres territoires, d'autres images.

Je veux ma battre encore au plein coeur de l'orage.

 

paf.

 

 

 

 

illustrations prises sur le site Hébus.

Musique :

THE DOORS.

- Riders on the storm -

 

L'ABUSE...

 

Un oiseau haut-perché,

sur des arbres déformés,

qui m'accusent.

 

Des monticules de non

et de terribles oui

avec moi qui s'amusent.

 

Des hommes sans amour, sans excuse.

Et tout ça qui m'jète dans l'froid,

là sans muse.

 

J'suis juste une buse

qu'on abuse

et qu'on use.

 

Un oiseau fatigué,

une horloge cassée

un âme qui fuse.

 

enfumée, dispersée

dans les brûmes

qui m'infusent.

 

Et la vie qui s'acharne

en guerrière sanguinaire

qui m'arquebuse.

 

Et toi qui disparaît,

m'laissant seule,

désabuse...

 

J'suis juste une buse

qu'on abuse

et qu'on use.

Un oiseau déchiré

qui s'accroche

et décroche,

qui s'diffuse.

 

une rime pauvre,

un mot sonné

une phrase confuse.

 

Une fleur fanée,

un coeur déchiqueté

qu'on transfuse.

 

un poisson sans eau,

qui étouffe

et qui pique

en méduse.

 

J'suis juste une buse

qu'on abuse

et qu'on use.

 

Un oiseau noir et gris

qui s'cache dans la nuit

qui n'connait pas

la ruse.

Qu'on ballade sans vergogne

sur des écueils à vif.

juste comme ça

sans attendre qu'il refuse.

Un oiseau qui s'envole

de malheurs

en bonheurs,

de cambuses

en cambuses...

 

J'suis juste une pauvre buse

qu'on abuse

et qu'on use.

 

 

 

C'est ça L'ABUSE...

 

Images Deviantart.

vidèo-paf-youtube

 

 

Mes amis de blogs,

je voulais m'excuser auprés de vous

sur le fait que

je n'ai pas pris la peine de répondre à vos commentaires qui,

exceptée une TROLL DE PASSAGE ( qui ferait bien de s'abstenir de revenir d'ailleurs ...)

m'ont comme d'habitude émue.

* de ne pas aussi revenir vous voir sur vos blogs qui pourtant commencent à me manquer..

 

pas une grosse excuse

à vous donner

juste que la vraie vie me FATIGUE

UN PEU TROP...

 

JE vais tout de même répondre à vos commentaires dans les jours qui viennent

et repasser voir chacun d'entre-vous.

Ne m'en veuillez pas.

je suis fatiguée.

 

paf.

 

 

 

ABOYER AVEC LES CHIENS.

 

Dans ma citadelle, volontairement enfermée,

j'accumule le silence avec ma liberté.

Il n'y a que le son du hasard qui me distrait.

Un mélanges de vies et d'inhumanités.

Un savant dosage d'irresponsables pauvretés.

Des crèpuscules sombres et bafoués,

où j'entends parfois les chiens hurler.

Parcequ'on les a comme moi, un peu oublié.

Assise et dérangée dans mon étrange volupté,

je les écoute aboyer

le vacarme envahit ma serennité.

Pour s'enfoncer dans ma tête fatiguée.

Alors j'aboie avec les chiens.

sans esperer de lendemains.

parfois même pour rien.

Comme un animal bléssé, sans collier, sans destin.

Comme une proie facile à tuer, sans lui tendre la main.

Comme un souffle lancé dans le vide trop lointain.

Comme une colère contenue trop longtemps qui explose en chemin.

Comme le glas qui sonne pour les soldats perdus, sans témoin.

J'abandonne les rails de mon train.

Et je crie dans l'aube qui s'éteint.

j'hurle en silence avec les chiens,

pour marquer l'infortune, pour gagner du terrain.

Pour qu'on entende un peu ma douleur, enfin.

 

As-tu compris, que je ne veux plus ça ?

As tu saisis que plus rien ne me va ?

As-tu le temps de t'arrêter sur un mot de moi ?

as-tu perdu ce qui te reste de bonté , de pardons pour les scélèrats ?

As-tu juste du temps pour éteindre les braises et leurs fracas ?

Je hurle avec les chiens pour ne pas en rester là.

Et toi, pourquoi cries -tu dis moi ?

Pour avoir la fortune à tes pieds, ou l'amour de ceux qui ne sont pas là ?

Hurles tu avec les chiens, la-bas ?

Ou bien dors-tu le ventre plein,  bien à l'abri du froid ?

Qu'attends-tu pour crier avec moi ?

n'entends tu pas les cris de nos tannières, les bruits de nos tracas ?

 

 Paf.

Images DEVIANT ART.

Youtube-vidéo-paf

 

LE DYNAMITEUR DE SECRETS

Il erre dans son village, comme un épouvantail désemparé.

On le prends pour un simple, un fou, mais c'est juste un taré.

Il donne l'impression d'être clair comme la lune allumée.

Mais ne vous y fier pas, c'est l'enfer incarné.

Il teste dans ses passages orchestrés,

toutes vos gentilles paroles, le moindre de vos secrets.

Sa mine désinvolte, son curieux aspect

n'aura jamais le temps de vous révolter.

Il agit plus vite qu'une ombre, pour se transformer

une fois dans son sarcophage doré

il s'abreuve en riant de vos jardins indiscrets.

Il les mélange dans son chaudron de sorcier

avec son teint, votre âme et vos larmes versées.

Chaque matin, il fait le tour des villageois égarés

de misères, de manque d'amour et de santé.

Il écoute d'une oreille penchée

et aspire de sa bouche édentée

vos maux, votre vie attristée.

Il semble si doux et si serein devant vos tensions alambiquées

que naîvement vous vous confiez.

son sourire est affable, son regard vide côtoie seulement vos pensées

son silence bienveillant vous donne la confiance adaptée.

Ainsi vous vous laissez aller

en confidences sincères et inavouées.

Il repart tranquille dans sa forêt

pour dynamiter

à la nuit tombée

tout les mots prononcès.

Tandis que vous dormez

sans même savoir que vous êts manipulés.

Il augmente un peu plus les doses de vos idées désemparées,

puis les dispose tranquillement autour du sablier.

Il attend l'heure la plus propice à vos dangers

et d'un crâchat amer, il jéte dans sa marmite le feu sacré.

Il s'asseoit sur l'aurore désargentée

et se marre comme une hyène ensanglantée.

Il passera le reste de sa journée

à dynamiter tous vos petits secrets.

Pour ensuite avaler son breuvage d'insensibilités

qui aideront à le transformer

en une femme sans fard, une harpie, reine de beauté

à l'âme noire comme la suie de vos cheminées.

Je vous souhaite de ne jamais la rencontrer.

Moi... je crois bien que c'est déjà fait...

 

Paf.

 

UN CONTE....

AUSSI NOIR...

QUE LA REALITE...

 

MES MOTS SE PAUSENT… 

 

 

Mes mots se pausent.

 

Des légers doutes qui s'opposent.

 

Le vent qui arrondit les choses.

 

La neige qui glace mes dernières roses.

 

Comme une image trop morose.

 

Alors plus rien ne se métamorphose.

 

La pluie qui nourrit mes pensées qui implosent.

 

La nuit qui sourit en lisant quelques proses.

 

 

Mes mots se pausent.

 

Sans envie, sans courage, portes closes.

 

un silence bienfaiteur qui me repose.

 

une chambre noire sans photos qui osent

allumer ma mémoire qui s'dépose.

 

Puis, toi tu arrives comme un soleil.

 

Tu éclaircis à nouveau mon ciel.

 

Je décide soudain d'aller vers le réveil.

 

Mais, parfois, tu laisses de violentes ombrelles

qui assombrissent le reste de mes ailes.

 

J'idéalise un peu trop le parfum qui sommeille

dans le passé où je ne vois que mes séquelles.

 

Toi, tu as peur du temps-sentinelle.

 

Tu repars, et moi, je reprends mes rituels.

 

 Alors tout redevient irrationnel.

 

 

 

Mes mots se pausent, enragés 

sans rayon, horizon saccagé.

 

Je finirai par balbutier

des grimaces d'actualités.

 

Des rebellions propagandées.

 

J"oublierai p'têtre de m'informer.

 

J'finirai par dessiner

des phrases de musée. 

 

Et les statues, cirées

regarderont apeurées,

mes bilans, mes manques, mes irrespects.

 

Paf-thètique,  femme-enfant allumée.

 

Au destin sans pitié.

 

Au déclin annoncé.

 

 

Mes mots se pausent et je me tais.

 

Juste pour sentir où j'en suis,  où tu en es…

 

@ Paf.

https://www.facebook.com/pages/Photos-Graphs-au-pays-des-volcans/292496250792004

 

IL ETAIT TEMPS

PAF-VOEUX

POUR VOUS TOUS...

 

Paf voeux que le bonheur

fleurisse

sans arrêt dans vos coeurs.

 

Paf voeux vous donner toute la résistance

aux affreuses indiffèrences.

 

Paf voeux pas la guerre mais c'est loupé !

Hollande fait déjà le malin au mali

pour re-dorer son économie...

 

Paf voeux que l'euro se transforme en monnaie de singe

pour acheter de la soupline et en famille laver son linge....

 

Paf voeux que l'amour

vous tenaille chaque jour.

 

Paf voeux que les saletés de maladies

ne vous tiennent jamais dans leurs lits.

 

Paf voeux que vous rigoliez

à chaque fois que vous pensez à votre banquier.

 

Paf voeux voir tous les mômes heureux,

guerriers chaleureux, petits sages respectueux.

 

Paf voeux qu'on oublie pas nos vieux

qui sont notre mémoire contre les sinistres désastreux

faiseurs d'histoires immorales, aux destins douteux...

 

 

LISTE TROP LONGUE...

PAF VEUT TOUT SIMPLEMENT

VOUS PRESENTER SES VOEUX..

 

 

Paf voeux RIEN...

AH !!!

SI...

PAF VOEUX SE REPOSER....

BIZZ LES POTEAUX

ET à

BIENTÔT...

 

Paf

 

 

MERCI à VULCANO-GRAPHE

pour les sublimes illustrations glanées sur son face

( lien en haut de l'article )

à vous tous et à ma famille.

 

 

 

B.C.B.G

 

 

je passe noël avec mon fiston...

Et croyez bien que les chiens ne font pas des chats comme on dit....

EN EFFET

LE FILS DE PAF

BEN....

C'EST PAF à 13 ans version garçon.

Donc on se marre.

 

il m'apprends le " PARLER D'JEUN'S DES ANNEES 2010/11/12 ET 13 SUREMENT... "

alors j'ai retenu une expression du PAF-LENNY/

 

B.C.B.G

B : Beau / C : Cul

B : Belle / G : Gueule

 

 

Donc la paf munie de ce nouveau langage

va vous raconter une anecdote de sa journée de lendemain de noël...

J'ai commencé l'année 2012, souvenez vous..

sur des chapeau de roues !

13 janvier anniversaire FESTIF, un vendredi sacrè,

ma fiestà a finie  littérallement crâmée.

olè!

L'année de la crise internationnale

donne une paf  budgetèrement banale, c'est à dire à MAL.

2012 : année capitalisée par les banquiers,

2012 : paf sous la tutelle de son charmant CON séyé.

2012 : no well une semaine avant...

J'ai déjà devancé le père noël pour le paf-fiston,

qui ,comme sa mômôn

demande et actionne plus vite que son ombre...

Donc paf munie de sa belle carte de crédit va retirer son pognon,

pour fêter no well et faire une belle réception.

sauf que paf elle a deux de tension

et se plante de machine à sous-distribution !

La carte personnalisée

est engloutie par la Caisse qui ne m'a pas épargnée.

pas grave je vais voir à ma vraie banque et je pleure avec désinvolture,

en leur expliquant ma mésaventure…

 

Bon la semaine se passe...

sans que personne ne trépasse.

Enfin je crois...

 

et j'attends quelques jours comme on me l'a gentiment conseillé

que ma carte réapparaisse au guichet ...

Sauf que LUNDI  DERNIER...

 

Héhéhéhé banque fermée

pour cause de distribution de cadeaux, dans le monde entier.

petit stress de la paf qui passe un réveillon avec fiston pafé

en tentant de mettre les petits plats dans les grands, difficile à gérer.

 

Sans money!

 

pas grave qu'à celà ne tienne j'attendrai

le lendemain de no-well, dans la matinée.

 

P'tit Lenny dort sur ses deux oreilles bien fermées.

Car mômon a toujours assuré...

alors voilà la paf qui se fait belle pour aller au guichet

chercher sa carte liberté.

 

Et,

 

là elle tombe après presque 45 minutes d'attente assez énervée

sur un jeune homme B.C.B.G...

 

qui lui explique que la carte faut aller la chercher

à l'autre banque qui l'a gardée

dans un tiroir bien fermée.

 

vous connaissez la paf enragée....

 

j'éclate littéralement sur ce petit con en costard bien taillé

et comme il est de plus en plus cul serré.

je lui pète dessus verbalement en employant le nouveau langage adapté !

 

Celui que mon p'tit gars m'a appris juste pour se marrer.

 

Et voilà la paf qui explose

en traitant le jeune empaffé

de BEAU CUL BELLE GUEULE qui commençait à me faire chier!

 

Et bien vous savez quoi?

 

Ma carte n'est pas redonnée !

 

et le liquide de mon épargne,

il voulait plus me le donner

car je venais de l'insulter!

 

j'ai protesté lui disant vous êtes hors la loi,

c'est mon fric ,

ma denrée.

 

ALORS

 

J'ai du promptement m'excuser auprès de ce jeune premier

d'la classe d'enfoiré de banquiers

 

pour avoir le droit de finir l'année

 

avec un peu de fric pour bouffer.

 

UNE ANNEE QUI COMMENCE COMME JE VOUS L'AI INDIQUé

 

ET QUI VA SE TERMINER

EN BEAUTé...

 

MERCI LA VIE CAPITALISEE

 

paf vous embrasse

 

je me suis qu'en même marré

de cette situation UBUESQUE ET TAREE

 

ET

j'ESPERE QUE VOUS AUSSI, VOUS ALLEZ BIEN RIGOLER.

 

Paf.@

 

 

JOYEUX NOËL à TOUS

paf@

made in paf

on SKYFALL...